Partie 3 : « Le vilain petit Qatar »

 

 

Le Qatar a à sa disposition des ressources fossiles importantes mais limitées dans le temps, il est donc impératif pour l’émirat de trouver un moyen de pérenniser sa fortune, et la solution fut assez simple : l’investissement extérieur et le tourisme. Or le Qatar est un pays avec des cotés sombres et cachés qui explosent au grand jour. La vraie identité du Qatar est-elle révélée ? L’image du Qatar est-elle entachée ? Faut-il encore lui faire confiance ?

 

 

 

1) l’image que le Qatar cherche à donner.

 

 

Il est impératif pour ce pays, dont le système économique est basé sur les ressources fossiles et qui cherche à varier ses investissements pour s’assurer un avenir plus serein, que celui-ci ait une image appropriée aux démarches de négociations. Si ce critère n’est pas atteint, il est compliqué de pouvoir conclure des transactions dans la bienséance sans une image de respectabilité, il faut donc mettre en marche des mesures et des astuces pour embellir sa renommée, comme le fait actuellement le Qatar. Entre de nombreux placements d’image Qatari et de nombreux investissements à travers l’Europe, le Qatar donne une image bienveillante qui inspire la confiance, Ce qui lui permet d’accéder à des investissements aux proportions plus importantes.

 

Par exemple : à travers le forte popularité de certains sports répendus, le Qatar, à l’aide de placements de produits ; De sponsors ; et d’achats de clubs et d’actions sur des clubs, se mets en valeur par rapport aux suporters des clubs en question et aux dirigeants haut placés des sports en questions, ce qui permet au Qatar d’obtenir des contacts. En restant dans l’exemple des sports, dans le monde du football, le Qatar a racheté certains clubs (tel le Paris Saint-Germain) et a investi dans d’autres (tel que Barcelone, Real Madrid, etc.).Or il n’y a pas que le monde du Football dans lequel le Qatar s’est introduit pour avoir un avantage financier, le Handball, le Basketball et de nombreux autres sports sont sponsorisés par des marques Qatari tel que Qatar Airways et bien d’autres.

 

Mais le sport n’est pas le seul domaine dans lequel le Qatar s’est immiscé pour augmenter sa popularité auprès des grandes entreprises. Le Qatar a aussi investi dans de grandes marques pour avoir une plus grande gamme de biens acquis permettant de faire des placements de produits ventant l’image du pays. Le Qatar est actuellement détenteur de 1% de la part mondiale des grandes entreprises de mode notamment grâce à son achat récent à 70% de la marque « Le Printemps » qui représente une grande source de revenus et un excellent moyen de mettre en avant le pouvoir d’investissement du Qatar. Ce pouvoir a prouvé être très attractif pour de nombreuses entreprises aux fonds insuffisants pour achever leurs projets. Grace à cette image d’investisseur de masse, les entreprises sont en concurrence pour séduire le Qatar et faire bonne image en espérant recevoir des investissements de leur part.

 

Le Qatar fait aussi de nombreuses manœuvres pour avoir des relations plus personnelles avec des personnes connues ou haut placées grâce aux investissements précédemment effectués, en retournant dans le domaine du sport, Nasser Al-Khelaïfi propriétaire du PSG, sous la direction d’un émir, procède actuellement à une distribution de maillots aux «amis» du Qatar, et à certaines personnes célèbres pour embellir leur image.

 

 

Or, contrairement aux croyances populaires, le Qatar ne se contente pas seulement d’investissements pour le futur de l’Émirat sans pétrole, il cherche à créer un courant touristique en rendant leur ville Dubaï attirante et la définition même d’un mélange entre luxe et innovations techniques. Grace à de nombreuses merveilles d’innovations tel qu’une tour qui serait approximativement l’équivalent en taille de trois Empire State Buildings entassés les uns sur les autres ; des iles artificielles imitant les formes du globe ou un palmier, le projet d’iles en forme de carte du monde est actuellement en chantier. Ils ont aussi eu l’idée de faire un hôtel en OR massif ou sous marin

 

 

, et de transformer temporairement un supermarché en piste de ski. En restant innovants et créatifs comme ils ont su l’être jusqu’à présent, ils purent créer une forte attraction touristique qui se tourne bien évidemment vers des personnes ayant les moyens de se payer un tel séjour au « paradis » de luxe. Ils sont aussi présents dans l’immobilier en tant qu’investisseurs et constructeurs (localement). Ces données représentent un véritable atout donnant au Qatar une image embélie

 

En plus de détenir une partie des entreprises conséquente, le Qatar possèdes parallèlement le moyen de transport aérien nommé Qatar Airways qui représente une ligne de vols aériens de luxe, qui représente un des grands sponsors du Qatar qui n’investissent apparemment seulement des entreprises de luxe ou ayant un rendement positif. Cela Leur donne une image plus luxueuse et raffinée ce qui attire l’attention d’entreprises

 

2) « Cet ami qui nous veux du mal » ?

 

Nous avons parlé de l’image que le Qatar se donne aux yeux du monde pour « se vendre » il est donc impensable que nous parlions des faces cachées que cet « ami » possèdes. Nous avons vu précédemment que le Qatar cherchait à donner une image attirante et intéressant aux yeux des autres gouvernements ainsi qu’aux entreprises étrangères. Or, en approfondissant sur le sujet et en passant outre ces apparences bienveillantes, l’on en apprends bien plus sur la nature du Qatar, surtout récemment avec de nombreuses polémiques exposés au grand jour, d’ou, notamment la plus connue étant celle au sujet la coupe du monde de 2022.

 

 

Le Qatar se retrouves dans une situation fâcheuse, et cela débutes après le vote pour la location de la prochaine coupe du monde au Qatar ce qui intrigua certains curieux, car le Qatar ne possèdes pas de stades déjà construits comme d’autres pays concourant pour l’honneur d’accueillir la « FIFA WORLD CUP » en son pays, et les conditions sont défavorables a l’accueil d’un tel événement sportif, de plus il est très couteux de construire un stade permettant d’accueillir un si grand public en si peu de temps. De plus d’autres états ayant un climat plus modéré et adapté à un événement comme la Coupe Du Monde possédaient déjà un stade en état fonctionnel par exemple Les Royaume-Unis fessait partie de ces états. De plus à cause du climat local, la coupe du monde est forcée de se dérouler en hiver ce qui risque de chambouler le calendrier sportif, et cela est du jamais vu. De nombreux journalistes se sont donc renseignés et ont pointé du doigt les dirigeants de la FIFA qui d’après eux auraient accepté des « pots-de-vin » de la part du Qatar, cela causa un scandale qui poussa la plus part des journalistes et investigateurs d’enquêter sur cette anomalie.

 

D’après des journalistes s’étant rendus sur place pour se renseigner il n’y aurait pas de traces pouvant affirmer cette suppositions, or ils trouvèrent d’autres informations plus intéressantes. Ils découvrirent sur les chantiers du stade de la coupe du monde quelques informations alarmantes : sur ces chantiers, des ouvriers sous-payés travaillaient dans des conditions insoutenables. Sous-payés Car ils ne peuvent même pas vivre avec le peu qu’ils gagnent, et la plus part meurent avant de pouvoir dépenser ce salaire. Les chiffres estimés du nombre de morts dans le chantier s’élèvent dans l’ordre des 400 ouvriers népalais &morts dans les premières étapes de la construction.

 

D’autres révélations rendues publiques se sont faîtes endommageant ainsi l’image du Qatar. Des suspicions se sont crées vis-à-vis du Qatar notamment avec une montée en fonds d’associations terroristes tel Isis, cette occurrence concorde avec la montée en fonds du Qatar et ses nombreux investissements. Plus intéressant encore Isis ne s’est rendu public seulement après une certaine imposition de la part du Qatar, à travers des publicités incitant les jeunes à se joindre à leur cause extrémiste et kamikaze, récemment plus de 1 000 jeunes disparaissent de leurs foyers et sont arrêtés à la frontière en direction d’Irak ou Iran pour rejoindre Isis.

 

Entre ces aspects révélés, une expression sur le Qatar prouve être bourrée de sens et véridique : « Le Qatar joue au Monopoli ». Cette expression est véridique dans le sens ou le Qatar essaie d’acheter un maximum de propriétés pour s’enrichir, mais cette expression comportes un coté plus sombre, car le Monopoli est à la base un jeux ou à la base il faut s’enrichir en dépit des autres tout en les ruinant. Cet aspect prit en compte on se rends compte que les achats et les investissement du Qatar privent la France d’une partie petite mais non nulle de ses revenus, cela coïncides donc avec le principes du Monopoli. Les effets de ces investissements ne se voient pas directement mais ils risquent de se faire ressentir sur les années et ils seraient aussi amplifiés par la crise omniprésente. Cela ne risque de se produire seulement si le Qatar est permit de continuer ses investissements sans relâche à travers l’Europe. Même si ces investissements paraissent vitaux pour sortir de la crise, ils ne représentent que des fonds temporaires et ne pourrons pas faire sortir l’Europe de la crise sur le long terme.

 

Une autre bavure sur l’image du Qatar est la répartition des richesses, car celle-ci est répartie de manière très inégale. Au Qatar seul quelques centaines de princes sont détenteurs de la quasi-totalité des richesses, et le reste de la population travail pour un salaire bien inférieur au SMIC et vivent dans des conditions dites déplorables. Ces ouvriers ne trouvent d’emplois que sous la directive de princes ambitieux et avares et sont souvent mis à rude épreuve, cela ne fait pas exception pour les citoyens peu nombreux de la classe moyenne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partie 3 :Faut-il se méfier du Qatar ?

 

Dans les deux parties précédentes, nous avons parlé des apparences prononcées et cachées du Qatar, nous nous posons maintenant la question suivante : « Faut-il se méfier du Qatar ? ». Car malgré ses apparences bienveillantes, le « Vilain petit Qatar » reste douteux.

 

Le Qatar étant un investisseur dit « sans limites », il suscites l’intérêt de nombreuses entreprises et représentes aussi par ailleurs une source monétaire d’une grande importance. Il ne serait pas judicieux de fermer les yeux, en temps de crise, sur une source de revenus aussi alléchante, qui, de plus, augmente collatéralement la compétitivité locale. Les apports bénéfiques d’une bonne entente avec le Qatar sont nombreux, et pourraient s’avérer utile pour les années à venir, surtout si le Qatar continues à investir comme il le fait en ce moment. Le Qatar représente donc un atout au niveau financier et au près des entreprises, et il serait difficile de s’en passer.

 

Et comme vu dans la première partie le Qatar, ayant ses coffres pleins, augmentes son aspect touristique ce qui formes encore un moyen d’obtenir des revenus. Le Qatar s’est astucieusement crée un flux touristique en proposant des hôtels de luxe et innovateurs dépassant les attentes des touristes tout en leur offrant des activités variées tel des pistes de ski dans un supermarché et des vues paradisiaques sur de îles artificielles ayant des formes inédites. Cet autre atout permet au Qatar de se mettre de nouveau en avant et cela donne un autre avantage aux partenaires du Qatar, qui peut, grâce à ce tourisme s’enrichir et permettre aux voies de transports de ses alliés de le faire aussi. Et il est d’autant plus intéressant d’être allié au Qatar de manière financière et politique avec l’arrivée de la coupe du monde 2017 qui risque de se passer en hiver.

 

Mais si les avantages d’une confiance mutuelle entre le Qatar et la France sont nombreux, les doutes restent présents car aucun acte ne présente seulement des avantages, cela est impossible. Il faut donc logiquement peser le pour et le contre, les avantages et les contraintes, car il est important de bien choisir ses financeurs et ses alliés. Pour vous le prouver, le Qatar est en voie pour ruiner la France en s’enrichissant, cela n’est peut-être pas volontaire mais c’est en marche actuellement, et pourtant peux de mesures sont prises pour limiter ces investissements à double tranchant. Quant aux apparences dévoilées du Qatar, elles n’inspirent pas confiance et poussent à remettre en question cet « ami » qui pourrais bel et bien nous vouloir « du mal », et les évènements récents autour de la coupe du monde ne font qu’aggraver les choses, les gens sont de plus en plus méfiants ce qui n’avantages pas le Qatar lors des négociations.

 

 

En conclusion, le financement apporté par le Qatar est indispensable pour la France, mais il doit rester limiter pour éviter des dégâts à long terme sur l’économie Française, des mesures devraient être mises en place pour empêcher ce débordement. Le Qatar est en effet un « ami » mais il reste suspect et il serait dans notre intérêt de ne pas se mettre en situation difficile.

 

 

 

Après notre enquête nous avons pu voir tout ce qu'un homme, grâce à des moyens financiers hors du commun, ainsi qu'un caractère visionnaire exceptionnel, peut avoir comme influence sur l'équilibre du monde et la géopolitique. Il a bien-sûr pu compter sur de très solides bases financières. Le Qatar est dans le trio de tête pour les richesses en hydrocarbures mais ses dirigeants ont bien conscience que leurs ressources naturelles risquent de s'épuiser. Ils investissent donc pour l'avenir en prenant des parts d'entreprises ou de grands groupes mondialisés comme nous l'avons vu avec nos exemples des clubs de football ,de l'hôtellerie ,du luxe et des nouvelles technologies...

 

Ainsi le Qatar est entré récemment dans l'histoire dans la deuxième partie du XXème siècle avec une expansion fulgurante et s'affirme en ce début du XXIème siècle dans lequel il entre de plain-pied. Cet essor s'est donc appuyé principalement sur des investissements extérieurs permis par l'abondance des ressources fossiles disponibles. Son succès et sa réussite sont aussi dûes aux équipes qui sont mises en place, les dirigeants qataris savent s'entourer de personnes maîtres de leurs domaines respectifs et symboliques leur permettant de positiver les closes des différents contrats.

 

Néanmoins, les scandales ayant récemment éclatés au grand jour nous laissent perplexes quand à la légitimité du titre de « prince de l'investissement ».